Voici un article, sur la manière d’aborder mon projet de roman en cours, grâce à Scrivener.
Le travail de la scène en cours :
Les dessins et cartes, regroupés dans la partie « research » :
Les documents du synopsis dans la partie « research » :
En ce qui concerne l’arborescence (le « binder »), c’est un outil formidable pour naviguer dans la structure de son roman. Pour ma part je classe les parties et chapitres en dossiers et sous-dossiers, puis sépare chaque scène (en général lorsqu’il y a un changement de point de vue de narration) en différents fichiers. Grâce à l’édition de la fonction « label » des méta-données, j’attribue un point de vue de narration (POV pour « point of view ») spécifique à chaque scène. Je sais ainsi à tout moment qui parle quand, et pour « combien de temps » (le nombre de signes)
Je vais revenir sur l’édition de la fonction label dans un article suivant, sous forme de tutoriel.
Voici mes captures de l’arborescence, l’affichage en synopsis permet d’avoir un coup d’oeil de ses chapitres par partie, leur durée en nombre de signes, que l’on peut développer pour voir le détail d’un chapitre, ou bien les scènes en choisissant d’afficher le contenu d’un dossier de chapitre.